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1 : Report des options de calcul renseignées dans le formulaire permettant de “redresser” le calcul de l’impact sur l’activité “estimé” (Pas de saisonnalité, charges considérées comme variables : comptes 601,602,604,606,607,621,624,625 mise en place du chômage partiel avec perte de salaire compensée. D'où les deux colonnes présentes dans le calcul de l’impact sur l’activité, l’outil retenant l’impact “redressé” si les options ont été renseignées.
2: Rappel de l’exercice de référence et de l’exercice prévisionnel fourni avant crise lors du dépôt de demande de subvention de fonctionnement en n-1 (ici septembre 2019).
3: Calcul de l’impact sur activité : Il s’agit ici de mettre en perspective les économies réalisées sur les charges variables décrites plus haut avec les pertes de produit, « estimé » sur la colonne de gauche puis « redressé » sur la colonne de droite.
4: Calcul des réserves disponibles au niveau du bilan n-1 : Il s’agit de rechercher les marges de manœuvre sur la trésorerie pour peu qu’elles soient couvertes par un seuil minimum de 30% des ressources durables (hors subventions investissement, provisions… et dettes >1 an pour ne pas remettre en cause les éventuels projets).
5 : Calcul des marges de manœuvre annexes : Il s’agit ici de mettre en évidence d’éventuelles marges sur les délais de paiement ou de recouvrement mais uniquement à titre informatif dans le cadre de l’accompagnement en ingénierie financière de la structure. Ces résultats ne sont en aucun pris en compte dans le calcul du test de résistance.
6 : Le résultat du test obtenu par la simulation de l’arrêt en n-1 (ici 2019) sur la base d’une liasse comptable opposable puis projeté sur le prévisionnel fourni avant crise pour assurer une permanence des méthodes. Il en ressort un montant sur lequel la collectivité interviendra à hauteur de son engagement par rapport aux autres subventionneurs (ici 46% de 90258-51493€ soit 17832€ arrondis à 18000€).
- Rapide : le tableau de bord synthétique permet une analyse croisée et réactive de la fragilité financière des associations, rendant possible une prise de décision dans un temps très réduit
- Rassurant : le test de résistance apporte un éclairage objectif de la situation, qui permet aux élus de construire une
conviction et d’adopter ensuite une position solide et argumentée
- Pédagogique : dans la même logique, la présentation des résultats du test de résistance permet d’engager le dialogue de gestion avec les partenaires.
Cet outil qui a pleinement rempli sa fonction pendant la crise COVID fait désormais partie de la boite outil et peut permettre l'élaboration d'une cartographie des partenaires à risque en cas de survenance d'un nouvel évènement.
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